Travail institutionnel

14/05/2025

Le collectif associatif, d’année en année

Dans un groupe, une équipe, une institution ou une association, nous savons que nous pouvons compter les uns sur les autres, nous faire confiance, réfléchir et parler ensemble, et même nous « accrocher »… Aucune procédure ou aucun modèle opératoire ne pourra remplacer cela, nous dire où est notre place et organiser nos relations humaines.

Le collectif associatif, d’année en année

A certains moments, nous sommes spectateurs ou acteurs, parfois les deux dans ces scènes du quotidien où chacun éprouve le collectif, le collectif associatif, celui qui permet de faire face aux difficultés rencontrées ou de travailler aux dossiers importants : les groupes de travail sur le projet associatif, la refonte du site Internet, le groupe d’accompagnement de l’USIS, la journée associative, les voyages thérapeutiques, les activités, les entrées dans un établissement, et même les sorties, mais avant tout l’accueil du quotidien, ce qui se lit dans ce rapport, des heures et des heures pour accueillir, comprendre et accompagner l’autre, le bébé, l’enfant, l’adolescent et la famille.

Apprendre à jouer ensemble, mais s’inscrire dans une culture, c’est être attentif et écouter l’autre, les autres, respecter les institution, ce qu’elles représentent et leur utilité.

Accepter les différences, la conflictualité, le débat, la complémentarité, travailler ensemble, jouer, jongler, inventer, dire… les possibilités sont infinies et la créativité certaine au Cerep-Phymentin et l’année 2024 l’a encore montré.

♣ Grégory Magneron, éditorial du rapport d’activité 2024