Reportage au cœur des locaux du Copes

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26 Boulevard Brune, deuxième étage, porte en face en sortant de l’ascenseur : « Bienvenue au Copes ! » Nous sommes ravis de vous accueillir pour cette petite visite de nos locaux.

Premier bureau. Situation stratégique. Les assistantes. Accueil bien sûr, des stagiaires, des formateurs, mais aussi salle des machines bouillonnante, ici on s’occupe de tout ce qui accompagne la mise en place des formations, inscriptions, conventions, logistique... Aux commandes, Rose-Marie Bisson et Audrey Duval. Le rire communicatif de Rose, ses réserves inépuisables de chocolat et autres friandises à la disposition de tous, Audrey, dont le masque obligatoire ces temps-ci ne parvient pas à dissimuler le sourire discret. Toujours disponibles, possédant une solide culture du Copes que chacun vient interroger régulièrement, rien ne pourrait se faire sans leur enthousiasme, leur vigilance et leur implication.

Bureau suivant. Notre nouvelle directrice. Pas si nouvelle que cela au Copes en fait puisqu’Emmanuelle Suchaud y est entrée il y a quinze ans en tant que toute jeune chargée de mission. Inutile alors de s’étendre sur sa connaissance de l’institution dont elle porte les valeurs et les engagements avec conviction. De nouveaux défis l’attentent, son enthousiasme à les relever ne fait aucun doute ici pour personne.

Dans le bureau contigu au sien, nous sommes bien obligés de reconnaître la présence de squatteuses qui n’ont pas mis longtemps à investir l’espace laissé libre par Christine Ascoli, notre ancienne directrice partie pour de nouvelles aventures au sein de Cerep-Phymentin. Il s’agit des chargées de mission qualité, Laurine Martin et Sophie-Anne Réquillart. À leur décharge, elles n’avaient pas vraiment de bureau jusqu’à présent. Il faut dire que leurs postes n’ont été créés que depuis deux ans, pour accompagner la mise en place des critères du nouveau référentiel qualité Qualiopi auquel le Copes doit satisfaire pour être éligible aux financements publics et mutualisés. Comme elles ont réussi à faire en sorte que les contraintes de la qualité s’adaptent à la singularité du Copes, Emmanuelle accepte ce nouveau voisinage un peu plus bruyant que le précédent.

On se décale d’un bureau, vous êtes ici chez les chargées de mission psychologues. Ne cherchez pas leur nom sur la porte, les services généraux n’ont pas encore eu le temps de s’en occuper. Olga Perelman est là depuis le mois de novembre et Lauriane Allard l’a rejointe le 8 février. Un tout nouveau binôme qui a en charge de construire les formations en lien avec les formateurs et les institutions. Psychologues cliniciennes elles animent aussi leurs propres formations.

La visite est bientôt terminée, si vous le souhaitez nous pouvons vous proposer un café dans la cuisine qui jouxte la salle de réunion.

Que des femmes au Copes ? Mais non !  Jean-Luc Théron notre webmaster n’a pas de bureau dans les locaux, mais il a bien sa place ici : il développe, maintient et suit le système d’information tout en travaillant son design et son identité visuelle.

Merci d’être passés, cela nous a fait très plaisir de vous présenter cette équipe pleine de nouvelles têtes (pensantes), prêtes à soutenir la vitalité du Copes, à la nourrir, la questionner, la réinventer.

À très bientôt !

 

Le Copes vous informe aussi sur le replay de la journée avec Didier Houzel - Soigner l’esprit : quels processus ?

Le 15 janvier dernier le Copes proposait une journée avec Didier Houzel en visioconférence et en direct de la Maison des Océans, à Paris. Nous avons eu beaucoup de plaisir à suivre les échanges nourris et de très grande qualité des intervenants.

Didier Houzel était en effet entouré de ses amis et collègues (eux-mêmes en visioconférence) qui ont apporté des nouvelles de son œuvre autour de la question du soin psychique.

De Bernard Golse, présent tout au long de la journée aux côtés de Didier Houzel, à Geneviève Haag et Hélène Suarez-Labat, en passant par Suzanne Maïllo, Riccardo Lombardi et Jean-Claude Guillaume, nous avons eu une chance incroyable d’entendre chacun de ses penseurs et cliniciens s’adresser à Didier Houzel, pour lui parler de son travail en interrogeant leurs pratiques.

►Ces interventions sont disponibles jusqu’au 15 mars 2021, vous pouvez les retrouver en vous inscrivant sur sur le site du Copes.

Nous vous souhaitons un plaisir égalé à (re)découvrir cette journée !

L’équipe du Copes